En Afrique, des branches de la société civile commencent à réagir sur l’utilisation des cultures génétiquement modifiées. Sur le collimateur se trouve l’Alliance pour une révolution verte en Afrique (AGRA) parce qu’elle favorise l’utilisation des OGM au lieu des cultures traditionnelles naturelles. Or, les conséquences réelles des OGM sur l’homme et la nature ne sont pas encore clairement connues.
A l’origine les technologies de la révolution verte et les OGM ont toujours voulu améliorer les rendements des productions agricoles pour les pays en voie de développement.Cependant, plusieurs structures considèrent que l’Afrique est utilisée comme laboratoire pour tester ces OGM qui sont souvent contesté même en occident. Des études contradictoires sont régulièrement présentées sur la question. Certains stipulent que les consommateurs des OGM sont plus enclins à développer des cancers par rapport aux consommateurs des denrées naturelles. Pire encore, dans d’autres pays comme l’Inde, plusieurs agriculteurs se plaignent du fait que le rendement promis n’est pas au rendez-vous.
C’est le cas de la production du Coton où les cultivateurs avaient décidé d’abandonner leurs semences habituelles pour adopter des semences génétiquement modifié qui devaient décupler leurs productions. Malheureusement les résultats n’ont pas été ce qui était prévu. Par ailleurs, d’autres recherches tendent également à montrer que ces cultures épuisent plus rapidement le seul.L’absence d’administrations fortes en Afrique fait que la régulation des OGM n’y est pas du tout correctement appliquée.
La vigilance des sociétés civiles rappellent aux autorités du continent qu’il faudrait être vigilant pour éviter de voir des conséquences aberrantes d’ici quelques décennies. L’AGRA veut trouver des solutions pour nourrir le continent mais elle doit faire preuve de plus d’attention.