La banque de Namibie a affirmé cette semaine qu’elle était satisfaite de la performance de l’économie nationale au regard des indicateurs de ce début de mois. Ces indicateurs ont affiché dans le secteur réel des résultats variables dans les industries primaires et secondaires. Dans le secteur primaire, la branche agricole et la production du Zinc et de l’uranium ont été assez performants ; tandis que dans le secteur secondaire on a assisté à des performances assez relatives dans la branche manufacturière et dans la production des boissons gazeuses. Les secteurs du gros et du tourisme ont aussi montré dans le secteur tertiaire une certaine amélioration par rapport au trimestre précédent. Cependant, le solde global de la balance des paiements a enregistré un excédent conséquent traduisant une palinodie depuis deux ans. La réalisation de ces chiffres est sans doute due à l’amélioration des apports de transfert de courant et à des exportations. Les prêts total du gouvernement namibien émis à la fois aux secteurs publiques et privés auraient également diminué sur une base trimestrielle de 2 milliards de dollars namibiens (183 millions $ US), l’équivalence de 2% du PIB et la dette total du pays serait restée dans une fourchette de 10% à 25% du PIB. Bien que le pays soit confronté à de nombreux défis, les autorités politiques s’engagent à maintenir et à améliorer ces indicateurs de croissance. Elles ont entrepris d’identifier les domaines prioritaires de dépenses afin de limiter des dépenses superfétatoires. En outre le gouvernement s’est engagé à beaucoup de transparence dans la gestion de son budget. Pour ce faire le ministère en charge des finances a mis en place des mécanismes destinés à empêcher tout détournement des fonds afin d’asseoir à moyen et à long terme une performance économique rassurante.