Dans le souci d’attirer encore plus d’investisseur, l’Angola a décidé de promouvoir le secteur agricole, Ce dernier pouvant aider le pays à varier fortement ses ressources naturelles. Basé sur l’exportation du pétrole, l’économie Angolaise est sous l’emprise de l’or noir, a déclaré la nouvelle patronne de l’ANIP, (l’agence d’investissement privé du pays), Maria Abrantes. En effet, le pétrole représente 45% du produit intérieur brut et 95% des recettes d’exportation. Le brut est à la source du développement progressif du pays depuis 10 ans. Mais le gouvernement est conscient qu’il devrait développer les autres secteurs de son économie, pour la simple raison de ne pas rester tributaire seulement des hydrocarbures. Ainsi, l’approbation de cette nouvelle législation depuis l’année dernière qui spécifie les délais pour approuver des demandes d’investissement. Dès la désignation de Maria de Luisa Abrantes en novembre dernier, L’ANIP a approuvé 23 projets, qui représentent 1,84 milliards de dollars et que les investissements non pétroliers ont atteint 13,6 milliards de dollars entre 2007 et 2011 et les principaux investisseurs arrivent de Chine, Brésil, Portugal et Etats -Unis. Maria de luisa Abrantes précise que le pays a des priorités, en premier lieu l’agriculture, en second lieu l’industrie légère et lorsque les infrastructures seront prêtes, l’industrie plus lourde.
Elle poursuit en disant que la suppression des mines datant de la guerre, a permis au gouvernement d’accélérer la reconstruction des plusieurs infrastructures, sans quoi, il serait presque impossible de penser diversifier l’économie Angolaise.