Au moyen des résultats précédents, le pays a évalué et divulgué sa prévision sur l’inflation 2012 mercredi dernier. Cette inflation sera de 15% en raison d’une forte dévaluation de la monnaie dans les semaines d’avant. Le ministre des finances Ken Lipenga a rappelé que la croissance de l’économie de l’Afrique australe n’a augmenté que de 4,3 % pour l’année 2011. En comparaison avec les 6 % d’inflation de l’année précédente, plusieurs raisons ont aidés à cette situation à savoir les coupures intenses d’électricité, des pénuries chroniques de carburant et de devises. Toutes fois, cette inflation s’est établie à 11,4% en mars, passant à 10 ,9% en février, et est prévue de continuer à monter et que son impact direct serait une plus grande inflation sur le cout de la marchandise importée. Quoique l’inflation en 2011 avait légèrement augmenté à 10,2 % et devrait augmenter à 15% en 2012, ce qui est beaucoup plus élevé d’après les prévisions effectuées, le ministre des finances certifie que ces données seront considérablement prises en compte lors de l’élaboration du budget 2012/2013. De son côté, La banque centrale a déjà relevé son taux d’intérêt de référence de 300 points de base à 16 % dans le but de contenir les pressions sur les prix de construction dans l’économie.
La dévaluation est une d’une série de mesures prises par le nouveau président Joyce Banda à raffermir des liens avec le Fonds monétaire international et les donateurs externes qui sont partis sous son prédécesseur, Bingu wa Mutharika, qui est décédé en avril.