L’environnement général des entreprises au sein de l’industrie de la pêche s’est amélioré en plein crise financière mondiale. En majorité les poissons commercialement importants ont été jugés en bonne santé, excepté quelques uns tel que la sardine. L’apport de l’industrie de la pêche à la production intérieure brute (PIB) en 2010 était estimé à 3,7 % par rapport à 4,6% de l’année précédente. La valeur finale des exportations dans le secteur s’élevait à 4 milliards de dollars en 2010 (5 15 millions de dollars américain), en diminution de 15% par rapport à 2009 où il s’établissait à 4, 7 milliards (605 millions de dollars américains). L’augmentation du prix du carburant a eu un impact sur la performance de l’industrie parce qu’il représente une grande partie du coût des entreprises de pêche, et cette augmentation a impacté négativement l’industrie de la pêche en 2011.Ainsi et dans le souci de croître les recettes, un programme de coopération sud-sud appuyant le développement de l’aquaculture entre la Namibie et le Vietnam est en plein essor jusqu’en 2015.
La coopération est financée par l’Espagne à un niveau de 14 millions de dollars (1 million de dollars américains) et par la banque africaine de développement (BAD) avec 3,5 millions (450 000 dollars américains) afin de développer un plan directeur sur l’aquaculture pour la Namibie.